Apparté [ papa puis après Kira]

[ ce passe avant ' affaire familiale' du point de vue chronologique]

J’avais emmener Kira jusqu’au château, de là, il était clair que je ne pouvais pas le laisser se balader sans surveillance dans le château aussi je l’avais laissé au cachot le temps d’obtenir l’accord de mon père. Après tout Kira savait ce qu’il risquait, je l’avais prévenu. Je lui avait fait comprendre qu’il risquait sa vie et sa réputation . Ce qui entraînait forcément de mauvaises choses. Il savait qu’il pouvait perdre sa vie, son pouvoir à Pallengad et la confiance du roi envers sa personne, à présent, il était de ma bonne grâce de faire que ces pertes est une chance d’être utile.
J’avais en même temps très envie de voir mon père, c’était rare que l’on passe du temps ensemble, même les entrevue rapide si raréfiaient… la guerre. C’était vraiment une horreur.
J’espérait que mon père était installé dans son bureau en haut de la tour. J’entrepris de monter les escalier avec la même vigueur que quand j’étais enfant, mais mes jambes fatiguaient plus vite. A mi chemin je m’arrêtais, épiant les bruits possibles de pas.
Rien.
Je souriais encore essoufflé car j’avais couru jusqu’ici et je déployais mes ailes, qui en sortant de mon dos craquèrent mes vêtements, préférant voler plutôt que de me fatiguer, arrivant à hauteur de la porte, je fis disparaître mes ailes, laissant les troues de ma chemises béant.
Je toquais à la porte avant de l’entrouvrir. En apercevant mon père seul, je soufflais.

-Majesté …

Glissais-je doucement pour ne pas le tirer de ses probable rêveries.
Je passais la porte m’inquiétant quand même de s’y je n’avais pas vue quelqu’un d’autre – ce qui explique le «majesté» à la place du «père»- Enfin, je me laissais sourire et m’approchais de lui, presque sur que celui-ci ne m’avait pas encore remarqué.
Je posais mon visage sur le côté attendant que mon père ne se tourne vers moi avec une réaction que j’imaginais.

-Père !

MOn père attendit d'avoir finit son travail pour me tendre un regard. Mon visage reprit un air droit soufflant la quiétude. Je me sentais apaisé quand mon père avait se visage si serein. J'avais l'impression d'être dans un monde sans guerre. Moi qui n'avait le droit à n'avoir que lui comme réel proche, j'avais pris ses petits gestes comme étant une des rares marques de mon existence en ce monde. Après tout je n'existais qu'a travers le regard de mon père, pour le reste du monde, même ma "cousine" je pourrais mourir que ça ne serait pas ni triste ni gaie.
Je suivais ses gestes du regard, le voyant se lever et s'approcher de moi, j'avais l'impression qu'il brisait ma pudeur d'enfant trop grand et trop fier. J'accueillais ses lèvres sur mon front avec un sourire très tendre, et mes yeux s'étaient clos en signe de mon calme présent.

Avant que mon père ne s'éloigne je m'accrochais à lui et faisais ce que je m'étais interdit de faire depuis déjà quelques années. Je le serrais dans mes bras calant mon visage contre lui. J'avais cette sensation que ce serait peut-être une chose que je ne ferais plus jamais.
Je m'imprégnais de sa chaleur et de sa douceur présente que je n'aurais bientôt plus, et finalement je quittais les bras de mon père affichant un sourire contenue.
Je m'éloignais légèrement et le regardant, hésitant comme toujours à parler de ce que je devais lui dire.
Je soufflais alors en lançant:

-Je suis venue pour vous parlez d'une affaire, mais d'abord, je ne veux pas que vous vous inquiétez, je vais bien... je n'ai rien.. sauf peut-être mal au ventre.. enfin.. c'est sans importance ^^

Ma voie était fluide et calme, avec un soupçon d'amusement, même si je savais que mon père s'inquiéterait de la suite.
Oui je devais lui dire comment j'avais rencontré celui que je voulais qu'il entretienne, enfin que je voulais.. un bien grand mot.

-J'étais à Myradia, et pars un étrange fait,-ce n'est pas tout à fait ça, mais il n'est pas obligé de savoir que je fais brûler les capes des gardes Pallengadiens que je croise-, des soldats m'ont suivit, et l'un d'eux, n'étant pas affligé aux autres réussit à m'attraper, nous nous sommes battue, et par chance j'ai réussis, Zero à éloigné les autres garde.
A la fin du combat, il à demandé à te parler. Je lui ai demandé si il connaissait les risques, il m'a dit que oui.
Je lui ai alors dis que je ferais mon possible pour lui obtenir une audience avec toi.

Je lançais à mon père un regard inquisiteur, voulant savoir si je pénétrais en terrain conquis ou si il fallait que je lui donne plus de renseignement.

- C'est.. c'est un soldat de pallengad. Il a des informations...
Je crois. >_<
Je souriais enfin d'un air calme et attendrissant espérant qu'il ne serrait pas insatisfait de ce que j'avais fait. Mon père, le regard sur ma vie qui m'importait le plus.

Avant qu’il ne se détache, l’enfant qu’il avait face à lui, le prit dans ses bras, ce qui laissa sur le visage de l’ange un doux sourire. Un peu surprit sur le moment, mais très toucher par le geste de son fils. Il posa sa main dans ses cheveux fins, comme pour pouvoir le garder encore plus longtemps contre lui. Etant un enfant, Kyoya n’hésitait d’ailleurs jamais à enlacer Kyohei où à l’embrassé aujourd’hui une certaine pudeur était née entre eux.
Se détachant de son fils, il l’écouta avec attention jusqu’à que le mot sans importance vienne titiller ses oreilles, ce qui n’était pas important pour l’était bien plus pour le père. Pour le moment au diable les affaires, le plus important était donc la santé du jeune homme. L’ange noir fronça donc un instant ses sourcils, mais garda son attention sur les paroles du jeune homme. Alors comme ça, il y avait un traître parmi dans les rangs de Pallengad voilà quelques chose d’intéressant.

« Mal au ventre ou pas t’ira voir le médecin … Pas que dans trois jours ont te trouve écrouler dans le hall pour je ne sais quel raison, chez le docteur jeune homme ! »

Gardant un œil méfiant, le roi n’aimait pas vraiment les traîtres, si ça peu trahir une fois pourquoi pas deux ? Quoi que vu la situation un traître ça peu être intéressant, le silence ne tarda pas s’installer dans la pièce.

« Bon pour ce soldat, tu peux le faire monter mais sous haute surveillance, et surtout le balade pas dans le château, je veux savoir ce qu’il a à dire, tu le fais monter mais après tu vas voir le médecin compris ? »

Ce n’était méchant, mais il insista sur la fin, il tenait beaucoup à Kyohei et ne plaisantait vraiment pas avec la santé, avec le temps, le seigneur était un peu devenue mère poule, toujours à vouloir le protéger, s’inquiétant de nas s’occuper de lui dignement, un trop plein de question certainement !

[center]

Encore imprégné des gestes que nous avions eut l'un pour, chose qu'on n'avait plus prit le temps de faire depuis longtemps, je le regarder changer de regard et s'inquiéter, devenir sérieux, j'avais toujours aimé regarder le visage de mon père qui changeait. IL avait le regard si expressif qu'il avait à peine besoin de parler.
Il étant évidant en voyant sa figure de savoir si il était calme, heureux, doux, méprisant, sarcastique, inquiet ou encore juste ennuyé de la présence qui était à ses côtés.
La il avait prit les yeux perçant et inquisiteur, le regard inquiet qui vous regardait avec l'intention de voire ce qui n'allait pas. Quand j'étais petit, j'adorais ce regard parce que souvent j'allais sur ses genoux et je lui modelait le visage pour qu'il fasse un sourire plutôt que cet air de "mon dieu que t'arrive t-il!" le moins qu'on puis-ce dire c'est que moi, je ne risquait pas la moindre infection, mon père m'emmenait chaque fois que j'avais un minuscule petit rien, chez le médecin.
Et là ça allait encore être le cas. Je lui sourit tendrement, comme l’enfant que je ne serais bientôt plus.

-Oui père j’irais voir le médecin.
Mais je suis sur que je vais très bien.

Je lui adressait un grand sourire, même si je n’aimais pas aller chez le médecin, c’était un acte habituel depuis le temps. Et j’y trouvais mon compte, pendant quelques heures, je pouvais bavarder avec quelqu’un sans avoir peur de m’y accrocher, un médecin ne sera jamais un ami.
J’hochais la tête face à son acceptation. Je savais que père n’aimait sûrement pas trop ça au fond, mais bonh. Il fallait que je fasse quoi? Que je laisse ce type derrière moi.
Nan et puis il risquait gros. Là au moins il est en sécurité.. plus le moment, en espérant qu’il aurait des choses intéressantes à dire à Père sinon.. c’est la mort qui l’attendait.

-Je la ramène ici, ne bouge pas. Et ne t’inquiète pas, je prendrais deux chiens de garde ^_^
Lui souriais-je.
J’acquiesçais et passait la porte, il fallait que j’aille chercher Kira. Je revint accompagné de Kira et de Deux gardes lui disant qu’il allait rencontrer le roi.
Finalement je poussais à nouveau la porte du bureau de mon père.
Je lui tirais gentiment la langue avant de dire :

-Majesté ! Je vous amène l’homme dont je vous ai parler.

Ce genre de situation me faisait rire. Mais il fallait ce retenir et c’était là tout le comique du jeu.

-Bonh et bien je vous abandonne pour aller voir le médecin ^^

Finalement je passais la porte laissant Kira et les gardes en la compagnie de mon père et prenant le chemin vers l’infirmerie.