Une cascade... Une immense cascade... Projetant son reflet argenté sur toute la forêt... Cette cascade, devant elle, une traverse... Un pont de pierre... Un arc de pierre... Magnifique paysage... A une des extrémités, un homme... Le visage sombre, caché par une frange noirâtre... On ne voyait pas ses yeux... Ses mains étaient camouflées dans les immenses poches mal-cousues sur son manteau de cuir, manteau qui lui descendait jusqu'aux genoux.
On eu dit que cet homme était un secret non violé, inconnus du monde, camouflé dans l'adversité... Subissant les usages du temps, si il n'avait eu cet histoire... Une histoire d'amour en l'occurrence, comme toutes les histoires d'ailleurs... L'amour est partout... Attila le Huns a compensé son manque d'affection par des tueries indéfinissables, Troie a succombé par la faute de l'amour d'un homme, Œdipe épousa sa mère, se creva les yeux pour se punir, mais ne cessa de l'aimer... Toutes les histoires sont influencées par l'amour... L'amour de la guerre, d'un honneur précoce, d'un territoire... Pour cette histoire, il est question de l'amour d'une femme...
Donc, je reprends...
De l'autre côté du pont glissant, une femme...
[SUITE DES QUE J'AI LE TEMPS]